Les pages de Moodle sont produites par assemblage de “parties” dans un “Layout” ou modèle.

Dans ce modèle, on distingue :

• Des zones qui sont de la responsabilité du code standard de Moodle,
• Des zones qui sont de la responsabilité d'un sous-organe de moodle (comme par exemple le sous-organe “cours” ou “blog” ou “le carnet de note” ou encore certains blocs),
• Des zones qui sont dans l'un des deux cas précédents, mais altérés par le thème.

L'impact visuel de Moodle dépend de trois choses :

• L'influence générale du thème par l'ensemble des “feuilles de style”.
• L'influence générale du thème par les zones qu'il contrôle et permet de paramétrer (avec import de ressources illustratives ou textuelles par l’administrateur ou le gestionnaire)
• Le travail propre des contenus eux même, sous la responsabilité des utilisateurs éditeurs / gestionnaires.

Dans certains cas (comme avec les éléments de cours par exemple), il est possible de donner un cadre visuel à la troisième influence, en proposant des gabarits visuels institutionnalisés dans Moodle.

Introduction

Les thèmes proposés par la communauté intègrent une progression de prises en charge en fonction de l'époque où ils ont été conçus, et en fonction des technologies disponibles sur le marché à ce moment, et aussi (et surtout) de celles que moodle a “digéré” dans son code standard.

Un thème apporte donc 4 éléments principaux

1. Le style général par ses feuilles de style : Plusieurs thèmes différents peuvent en théorie aboutir à un style assez similaire, au delà de leur feuille de style initiale. Il faut par contre engager un travail de surcharge des feuilles de style pour y arriver.
2. Un à-priori important sur l'outillage (et les principes) de présentation générale : est on plutôt “orientation sans blocs” ou préfère t-on les “panneaux” escamotables à une organisation en “zones”. Chaque thème apporte certaines améliorations en remplaçant les modalités initiales du Moodle standard (Par exemple préférer des dialogues Ajax à des séquences de formulaires avec réponses), prendre en charge particulièrement l'accessibilité, prendre en charge particulièrement la responsivité (aspects mobiles et tablettes).
3. Des fonctionnalités supplémentaires implantées dans les “zones générales” comme la page d'accueil, le tableau de bord, bref, toutes celles qui ne pourraient être dans un “plugin” plutôt que via le thème. Exemple : Pavés marketings, Alertes de page d'accueil, Eléments de la barre de navigation, Eléments de pied de page, Détournement de page de connexion, etc
4. Enfin, des “altérations” de fonctionnalités existantes, par sa capacité à “prendre la main” sur des scripts de rendus d'autres plugins. (il existe cependant d'autres techniques pour altérer le comportement de certains plugins).Exemples: Modification de la présentation des index de catégories de cours, modification de la présentation des quiz, injection de fonctionnalités dans le déroulé de cours, etc.

D'un point de vue administrateur :

• Les thèmes permettent d'accéder à certaines fonctionnalités “périphériques” en fonction de la richesse du thème,
• Les thèmes permettent plus ou moins un “tuning” de l'agencement, en fonction de leur flexibilité.

D'un point de vue intégrateur :

• Certaines fonctionnalités peuvent être récupérées d'un thème pour être réintégrées sur une autre souche, mais cela dépend de la clarté d'implémentation par l'auteur du code initial.
• Plus un thème est flexible, plus il sera complexe à maîtriser pour toute modification lorsque la demande sort des possibilités acquises par le thème.

• Fordson FEL : dérivé du thème fordson dont à été revu les dysfonctionnements, et été amélioré de nombreuses fonctionnalités
• Klassplace : La fusion de klassroom un thème payant, et de Fordson FEL

• Valéry Frémaux (valery@activeprolearn.com)
• FLorence labord (florence@activeprolearn.com)

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